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15C - Arbre de la centenaire

Circuit piétonnier "histoire et patrimoine de Baisieux", balades découverte 11,4 et 7,3 km.

 

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Madame Cornil, centenaire basilienne

 

Le 3 mars 1996, la municipalité de Baisieux mettait à l'honneur une centenaire : Mme Justine-Célestine Cornil, née à Sainghin-en-Mélantois le 03 mars 1896 et basilienne depuis 1974. Le maire de l'époque entouré du conseil municipal et d'une nombreuse assistance, se rendit rue de Templeuve, sur le terre-plein central, au niveau de l’ancien croisement de la Rue du Grand Baisieux et la rue de Templeuve, pour y planter un chêne qui s'appela l'arbre de la centenaire. Justine-Célestine Cornil est décédée le 19 juillet 1998 à Baisieux à l'âge de 102 ans.


En allant vers la mairie, on peut observer les rangées de maisons qui étaient appelées « Les citées Balatum », car les maisons appartenaient à l’usine Balatum. La première citée a été construite à partir de 1925, rue de Templeuve. La seconde citée en 1930 et la troisième citée fin des années 30. D’après la mémoire de nos anciens, la troisième citée Balatum a été occupée par l’armée anglaise quelques temps en 1939, au début de la seconde guerre mondiale, durant la drôle de guerre. Les cités Balatum étaient mises à disposition des ouvriers de l’usine qui étaient majoritairement d’origine étrangère (portugaise, italienne, espagnole, algérienne et marocaine), dont il existe de nos jours, de nombreux descendants à Baisieux. 

Les plus grandes maisons, rue de la mairie (anciennement dénommée « Rue du Grand Baisieux »), étaient réservées aux directeurs et cadres de l’usine. Les deuxième et troisième cités sont situées «rue des Cerisiers », car à une époque, ces deux rues étaient bordées de Cerisiers. 

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Les cités Balatum

Les rangées de maisons étaient appelées « Les citées Balatum », car les maisons appartenaient à l’usine Balatum. La première citée a été construite à partir de 1925, rue de Templeuve. La seconde citée en 1930 et la troisième citée fin des années 30. D’après la mémoire de nos anciens, la troisième citée Balatum a été occupée par l’armée anglaise quelques temps en 1939, au début de la seconde guerre mondiale, durant la drôle de guerre.

Les cités Balatum étaient mises à disposition des ouvriers de l’usine qui étaient majoritairement d’origine étrangère (portugaise, italienne, espagnole, algérienne et marocaine), dont il existe de nos jours, de nombreux descendants à Baisieux.

Les plus grandes maisons, rue de la mairie (anciennement dénommée « Rue du Grand Baisieux »), étaient réservées aux directeurs et cadres de l’usine.

Les deuxième et troisième citées sont situées « Rue des Cerisiers », à une époque, ces deux rues étaient bordées de Cerisiers. Ces arbres ont été retirés par la suite causant des soulèvements au niveau des trottoirs.

Pendant cinquante ans, (des années 1930 jusqu’à la fin des années 70), ces cités de maisons étaient un véritable micro quartier de Baisieux, entourées de champs, situées entre le Grand et le petit Baisieux. Des tournois de football inter quartier étaient organisés avec les habitants du Grand Baisieux, du Petit Baisieux et des cités Balatum.

Courant les années 90, l’usine a revendu ses maisons aux personnes qui les occupaient pour un prix très raisonnable. Devenus propriétaires les habitants ont beaucoup amélioré ces logements.
Autre anecdotes, Jean Menet, soldat mort pour la France lors du naufrage lors de l’explosion de la frégate «Laplace» au large de Saint Cast le Guildo, habitait dans la première citée, Rue de Templeuve. Ce terrible accident a eu lieu le 16 septembre 1950, en pleine nuit, au pied du cap Fréhel (Côtes-d’Armor). La frégate météorologique fut touchée par une mine magnétique allemande. Cinquante et un marins périrent cette nuit-là. Cet évènement a fait la une des actualités nationales de l’époque.
Au niveau de la première citée existait un magasin de réparation de vélo « Chez Mordacq ». Dans les années 80, on apercevait l’enseigne « Motobecane », sur une façade de la Rue de Templeuve.

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14C - D'une école à l'autre

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En 1959, la commune ouvre un nouveau groupe scolaire, rue du Général Leclerc : L'école publique de filles et garçons du Grand-Baisieux. Les élèves quittent l'école communale, située rue de Tournai, pour emménager dans celle-ci. 

En fin juin 2008, l'école (devenue Lamartine) ferme ses classes, pour emménager dans la nouvelle école Paul-Emile Victor. 

À la même époque, la clé est donnée à la directrice de l'école du Sacré Coeur, pour déménager son école privée, située à l'angle de la rue de Tournai /Chemin de la Plaine, vers l'ex-école Lamartine. Depuis 2008, de nombreux travaux ont été réalisés par le Sacré-Coeur.

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